[Football] LdC, France-Italie, match nul
Article écrit le 19 Septembre 2009
Lors de la première journée de la phase de poule de la Ligue des Champions, il y avait un duel franco-italien. celui-ci s'est soldé par une égalité parfaite.
Marseille 1-2 Milan, l'arnaque totale
Dominer n'est pas gagner. Les marseillais pourront méditer cette phrase s'ils ne se qualifient pas pour le deuxième tour. Dans un match très physique, l'OM avait pourtant bien débuté. De belles actions, comme celle de Niang à la 3ème minute ou des centres de Kaboré (5ème) et Cheyrou (6ème) sur lesquels Brandao est trop court. Les débats s'équilibrent rapidemment, l'expérience de Milan étant prépondérante. En effet, les milanais se ressaisissent, comme le prouve le centre à ras de terre d'Inzaghi pour Pato seul face au but repris de justesse par Diawara (13ème). A la 27ème, un superbe travail de Seedorf, excellent ce soir là, conclut la prise en main du match des milanais. Le néerlandais centre pour Inzaghi, oublié par la défense. L'italien, légèrement hors-jeu, n'a qu'à pousser le ballon au fond des filets. La première se termine par une reprise de volée de Cheyrou puissante mais malheureusement sur le gardien.
En deuxième mi-temps, l'OM accentue son pressing et est très vite récompensé. Sur un coup franc de Cheyrou, Heinze reprend de la tête et glisse le ballon entre les jambes de Storari. Euphoriques, les marseillais continuent leur domination. Les occasions ne manquent pas, mais Marseille pèche dans la finition. A la 74ème minute, l'omniprésent Seedorf adresse un centre à Inzaghi qui crucifie Mandanda. Les marseillais tenteront bien d'égaliser, en vain. Les milanais repartent avec trois points dans la musette.
Juve 1-1 Bordeaux, un bon point
Dans ce match, les 20 premières minutes furent plutôt bordelaises, avec notamment une frappe croidée de Fernando (3ème), une reprise molle de Gourcuff (9ème) et un excès d'altruisme de Chamakh qui oublie de frapper et s'emmèle les pinceaux. Les turinois répondent par 4 frappes (21ème, 23ème, 26ème, 31ème). Suivent ensuite une double occasion de Diarra (33ème) et des têtes d'Amauri (35ème) et de Ciani (44ème).
En seconde période, Bordeaux démarre tambours battants. Wendel frappe (46ème), imité par Gourcuff (47ème et 49ème). A la 50ème, Iaquinta frappe puis se cogne à Carrasso. Le portier bordelais, blessé, cède sa place à Ramé 5 minutes plus tard. Le nouvel entrant réalise deux superbes parades sur un coup franc de grosso (60ème) et une frappe de Iaquinta (62ème). Malheureusement, une minute plus tard, Cannavaro lance Iaquinta en profondeur. Ce dernier prend Planus de vitesse et trompe Ramé qui n'avait pas bouché son angle. Les bordelais tentent de réagir avec une frappe de fernando (67ème) et sont tout près de se faire surprendre (69ème et 71ème). Heureusement, sur ces deux occasions, Ramé sort le grand jeu. A la 75ème, Gourcuff tire un coup franc pour Fernando qui remise sur Plasil. Le tchèque met la balle au fond des filets. Malgré un but hors-jeu, l'égalisation est validée. Les leader du championnat de France se contenteront de tenir le score dans le dernier quart d'heure. Bordeaux ramène un point intéressant du Stadio Olimpico.
Lyon 1-0 Fiorentina, dans la douleur
En première mi-temps, la Fiorentina domine les débats, se créant deux occasions, une repoussée par Toulalan (26ème) et l'autre par Cris (31ème). Mais les italiens enveniment rapidemment le match. L'arbitre choisi de ne pas sévir, puis prend ses responsabilités... à l'encontre des lyonnais ! Lisandro et Pjanic voient jaune au 34ème et 38ème minutes. A la 40ème, c'est Donadel qui est rppelé à l'ordre. A la 44ème, Cissokho frappe sur la barre, puis Govou remet sur Pjanic qui marque. Mais l'arbitre de touche avait signalé que le ballon était sorti sur la frappe initiale. le but est donc refusé injustement. dans les arrêts de jeu, Gilardino ne s'occupe pas du ballon et préfère lui donner un coup de coude; L'arbitre lui met d'abord la biscotte jaune, mais change d'avis et l'expulse. Suggestion de son assistant ou vue de l'intégrité physique de Toulalan, on ne connait pas la raison de ce logique changement d'avis.
En deuxième mi-temps, les lyonnais prennent le contrôle du match, mais Frey est dans un grand soir. Le gardien français de Florence sauve les siens de nombreuses fois. Malgré tout, il finit quand même par céder à la 74ème. Källström frappe puissamment, le portier repousse mais Pjanic pousse la balle dans le but. En fin de match, Frey évitera à son équipe de repartir avec plus de buts dans la musette.
On notera la formidable performance de Toulalan en défense centrale, l'énorme combativité de Källström, les très bonnes montées de Cissokho et la performance monstrueuse de Frey.
SRC
Lors de la première journée de la phase de poule de la Ligue des Champions, il y avait un duel franco-italien. celui-ci s'est soldé par une égalité parfaite.
Marseille 1-2 Milan, l'arnaque totale
Dominer n'est pas gagner. Les marseillais pourront méditer cette phrase s'ils ne se qualifient pas pour le deuxième tour. Dans un match très physique, l'OM avait pourtant bien débuté. De belles actions, comme celle de Niang à la 3ème minute ou des centres de Kaboré (5ème) et Cheyrou (6ème) sur lesquels Brandao est trop court. Les débats s'équilibrent rapidemment, l'expérience de Milan étant prépondérante. En effet, les milanais se ressaisissent, comme le prouve le centre à ras de terre d'Inzaghi pour Pato seul face au but repris de justesse par Diawara (13ème). A la 27ème, un superbe travail de Seedorf, excellent ce soir là, conclut la prise en main du match des milanais. Le néerlandais centre pour Inzaghi, oublié par la défense. L'italien, légèrement hors-jeu, n'a qu'à pousser le ballon au fond des filets. La première se termine par une reprise de volée de Cheyrou puissante mais malheureusement sur le gardien.
En deuxième mi-temps, l'OM accentue son pressing et est très vite récompensé. Sur un coup franc de Cheyrou, Heinze reprend de la tête et glisse le ballon entre les jambes de Storari. Euphoriques, les marseillais continuent leur domination. Les occasions ne manquent pas, mais Marseille pèche dans la finition. A la 74ème minute, l'omniprésent Seedorf adresse un centre à Inzaghi qui crucifie Mandanda. Les marseillais tenteront bien d'égaliser, en vain. Les milanais repartent avec trois points dans la musette.
Juve 1-1 Bordeaux, un bon point
Dans ce match, les 20 premières minutes furent plutôt bordelaises, avec notamment une frappe croidée de Fernando (3ème), une reprise molle de Gourcuff (9ème) et un excès d'altruisme de Chamakh qui oublie de frapper et s'emmèle les pinceaux. Les turinois répondent par 4 frappes (21ème, 23ème, 26ème, 31ème). Suivent ensuite une double occasion de Diarra (33ème) et des têtes d'Amauri (35ème) et de Ciani (44ème).
En seconde période, Bordeaux démarre tambours battants. Wendel frappe (46ème), imité par Gourcuff (47ème et 49ème). A la 50ème, Iaquinta frappe puis se cogne à Carrasso. Le portier bordelais, blessé, cède sa place à Ramé 5 minutes plus tard. Le nouvel entrant réalise deux superbes parades sur un coup franc de grosso (60ème) et une frappe de Iaquinta (62ème). Malheureusement, une minute plus tard, Cannavaro lance Iaquinta en profondeur. Ce dernier prend Planus de vitesse et trompe Ramé qui n'avait pas bouché son angle. Les bordelais tentent de réagir avec une frappe de fernando (67ème) et sont tout près de se faire surprendre (69ème et 71ème). Heureusement, sur ces deux occasions, Ramé sort le grand jeu. A la 75ème, Gourcuff tire un coup franc pour Fernando qui remise sur Plasil. Le tchèque met la balle au fond des filets. Malgré un but hors-jeu, l'égalisation est validée. Les leader du championnat de France se contenteront de tenir le score dans le dernier quart d'heure. Bordeaux ramène un point intéressant du Stadio Olimpico.
Lyon 1-0 Fiorentina, dans la douleur
En première mi-temps, la Fiorentina domine les débats, se créant deux occasions, une repoussée par Toulalan (26ème) et l'autre par Cris (31ème). Mais les italiens enveniment rapidemment le match. L'arbitre choisi de ne pas sévir, puis prend ses responsabilités... à l'encontre des lyonnais ! Lisandro et Pjanic voient jaune au 34ème et 38ème minutes. A la 40ème, c'est Donadel qui est rppelé à l'ordre. A la 44ème, Cissokho frappe sur la barre, puis Govou remet sur Pjanic qui marque. Mais l'arbitre de touche avait signalé que le ballon était sorti sur la frappe initiale. le but est donc refusé injustement. dans les arrêts de jeu, Gilardino ne s'occupe pas du ballon et préfère lui donner un coup de coude; L'arbitre lui met d'abord la biscotte jaune, mais change d'avis et l'expulse. Suggestion de son assistant ou vue de l'intégrité physique de Toulalan, on ne connait pas la raison de ce logique changement d'avis.
En deuxième mi-temps, les lyonnais prennent le contrôle du match, mais Frey est dans un grand soir. Le gardien français de Florence sauve les siens de nombreuses fois. Malgré tout, il finit quand même par céder à la 74ème. Källström frappe puissamment, le portier repousse mais Pjanic pousse la balle dans le but. En fin de match, Frey évitera à son équipe de repartir avec plus de buts dans la musette.
On notera la formidable performance de Toulalan en défense centrale, l'énorme combativité de Källström, les très bonnes montées de Cissokho et la performance monstrueuse de Frey.
SRC